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mardi 7 mai 2019

Et mon job dans tout çà


Actuellement je travaille dans un grand groupe qui propose entre autres du gaz et de l’électricité. J’y suis depuis 21 ans. Je m’y sens bien, je connais mon job sur le bout des doigts, ça roule tranquillement.

Mais la lassitude est là quand même, j’ai envie de voir autre chose depuis quelques temps. Mais on me propose un poste intéressant et que j’attends depuis longtemps alors je repousse les idées de changement.

C’est dans ce contexte que la proposition d’emploi pour le Canada tombe.

Que faire, que dire et quand le dire ?

Le recruteur nous a contacté en juillet, nous avons dit oui en août, je l’ai annoncé en septembre.

Je voulais savoir comment ça pouvait se passer (démission, congé sans solde…)

Avec le recul, c’était trop tôt, beaucoup trop tôt.

Toutes les propositions qu’on aurait pu me faire ont naturellement été mises en suspens le temps de savoir si nous partions ou pas (j’ai loupé la possibilité d’aller former des collègues qui débutaient dans d’autres pays par exemple), les augmentations éventuelles aussi (tu vas partir, pourquoi investir).

En plus, quand tu annonces en août 2018 que tu vas partir au Canada pour la Toussaint (on t’a dit qu’il faut 6 semaines maximum pour l’obtention des visas), qu’ensuite tu repousses à Noël, puis à février 2019, puis… Tu passes franchement pour une cruche.

Si c’était à refaire je l’annoncerai à l’obtention des visas, voire à la confirmation de la date d’arrivée prévue par le nouvel employeur.

J'ai, par contre, rencontré un soutien sans faille, que ça soit de mes collègues, de mes responsables, des syndicats. Tous ont accepté notre décision et se sont démenés pour trouver des solutions et des réponses à mes questions.


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